ANALOG – Voyage dans les Îles Canaries : Lanzarote et Fuerteventura





















Canonet – TriX 400

En Avril 2017, on a décidé de partir une semaine en Ecosse avec ma petite sœur Clémentine. Nous ne pouvions pas louer de voiture alors nous avons choisi de voyager avec les bus. J’y ai pris quelques images en argentique que j’avais envie de partager avec vous. La première partie du voyage a été photographiée en noir et blanc avec une Ilford Hp5 alors que nous étions à Glasgow et lorsque nous étions sur la route pour rejoindre l’île de Skye. La seconde partie du voyage, lors du bus trip pour rejoindre Skye et lors d’une longue randonnée sur l’île, a été photographiée en couleurs avec une Kodak Portra 400.
Nous avons adoré ce voyage, l’Ecosse est un pays apaisant et l’on s’accoutume vite du climat humide et venteux. Les paysages sont magnifiques… d’ailleurs, je vous laisse découvrir cela dans la suite de l’article.
N’hésitez pas si vous avez des questions sur l’itinéraire choisit à me les poser dans les commentaires.
Voici l’itinéraire que nous avons choisi de faire, selon les logements trouvés sur la route. Le retour a été fait sur une seule journée. Lorsque j’aurais la possibilité de louer une voiture je pense déjà à y retourner et y faire du camping sauvage. On se sent libre en Ecosse et c’est le pays parfait pour « prendre l’air » et oublier son quotidien.
L’étape la plus marquante de notre voyage a été la découverte de ce paradis à une altitude de 1 849 mètres : Le Lac d’Oredon, dans les Pyrénées françaises. J’avais en tête de monter en altitude pour faire une randonnée au cours de notre road trip et c’est totalement par hasard, grâce à Google Map, que j’ai pu repérer ce lac. Nous y sommes arrivés en fin de journée, après une longue route qui m’a donnée extrêmement mal au cœur, et avons réussi à obtenir les derniers lits du refuge qui se trouve à proximité du lac. J’avoue que nous n’avions pas trop envie de faire un bivouac sous des températures relativement basses et sous une telle humidité.
A peine arrivés, nous avons pris une heure pour faire une petite randonnée autour du lac avant le dîner. L’ambiance était incroyable, le brouillard dense octroyait au lac un caractère magique.
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Au réveil, à 7 heures, la vue depuis la terrasse du refuge était simplement fantastique. Après un bon petit déjeuner nous sommes partis randonner.
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L’objectif de l’étape suivante était de rejoindre l’océan. Dans un premier temps, nous avons posé notre tente à Socoa où nous avons campé puis nous avons visité Biarritz et, avant Bordeaux, nous avons passé une dernière nuit dans un camping près de l’océan et dans les forêts de pins.
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Voici les dernières photos de la Grèce que j’avais hâte de partager avec vous. Je n’ai pas longtemps hésiter à emporter avec moi mon Yashica A en voyage, même s’il n’est pas des plus faciles à transporter. Je ne regrette vraiment pas ce choix et le nombre d’images sélectionnées pour cet article en est la preuve.
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J’espère que ça vous plaira, j’attends vos retours avec impatience !
Je débute avec ce troisième article la dernière partie des photographies et du récit de notre voyage en Grèce. Vous pouvez retrouver la première étape à Tinos et la seconde à Naxos en cliquant par ici. Dans cet article je vais parler de la fin de notre séjour, de l’île de Santorin à Athènes.
Σαντορίνη
Santorin et le cœur touristique de la Grèce. Vous l’avez déjà forcément visionnée en photos un jour et notamment ce type de vue.
L’île volcanique est également appelée Thira ou Thera. Plus petite que les précédentes, 90,96 km² et beaucoup moins sauvage mais non pas moins remplie de charme.
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Nous avons quitté Naxos le mercredi assez tardivement dans la journée, toujours sous la contrainte des horaires de ferry, après avoir visité la très jolie ville de Chora. Le débarquement sur l’île s’est avéré assez long, le ferry déversait son flot de touristes et les motos, scooters et autres camions défilaient suivis de près par les piétons. Une fois sur terre nous n’avons pas compris de suite où nous étions, le port était très petit, il ne semblait pas y avoir de ville à proximité. En réalité, nous n’avions pas débarqué au port de Fira mais plus bas. Rapidement aiguillés par un aimable bonhomme, nous sommes montés dans un bus qui, pour 2 € par personne, nous a conduit en ville.
Comme à chaque arrivée, notre premier réflexe a été de vouloir s’éloigner le plus possible du port principal afin de s’isoler et pour cela il nous fallait donc louer un véhicule. Malheureusement la météo ne nous a pas permis de louer un scooter… à la place nous avons eu une jolie voiture très urbaine (la location s’est avérée beaucoup plus chère, plus formalisée que sur les autres îles).
Une fois notre véhicule acquis nous sommes partis en direction de Akrotiri, sur les conseils du guide du routard pour y trouver une pension qui avait l’air très chouette. Malheureusement, et comme toutes les autres pensions, elle était en restauration avant d’attaquer la saison. Le temps était exécrable, il faisait froid, il y avait un vent puissant, nous étions un peu découragés et pouvions à peine sortir de la voiture pour visiter les villages.
Nous avons décidé de rebrousser chemin et de partir plus à l’est de l’île, à Perisa. Là-bas nous avons finalement pu trouver une pension ouverte, entre les montagnes et à cent mètres de la plage. La chambre était assez petite et mignonne, elle ressemblait en quelque sorte à une petite grotte. MAIS il y faisait très froid et notre chauffage était en panne. Le loueur nous a alors invité à aller au restaurant et pendant ce temps quelqu’un viendrait le réparer. Nous avons mangé dans un grand restaurant de bord de plage, un plat réconfortant et chaud, puis nous sommes partis à l’appartement, nous mettre à l’abri du vent en espérant que notre chauffage fonctionne à nouveau, ce qui était le cas MAIS… surprise ! il n’y avait plus d’eau. Même si le chauffage fonctionnait j’avais encore très froid et nous n’avions pas de couverture. La nuit n’a pas été des plus agréables mais cela n’enlève en rien au charme de cet endroit et je pense que, comme beaucoup de choses à Santorin, cela doit être vraiment parfait en été.
Jeudi, nous avons terminé notre visite de l’île, la pluie et le vent étaient toujours très présents et nous ont un peu gâché le plaisir. Néanmoins les paysages étaient beaux et je trouve que la nature, même lorsqu’elle se présente sous ce jour, est très belle. Nous avons dormi dans un hôtel à Fira et le lendemain nous avons dû nous lever à l’aurore pour aller prendre notre avion en direction d’Athènes.
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Nous avons déjeuné dans note voiture face à cette belle plage et y avons croisé la route de deux chinoises perdues qui avaient été déposées là par leur taxi… Nous les avons ramenées en ville suite à cela.
Le soir le ciel s’est dégagé, le vent s’est un peu calmé et le soleil a pointé le bout de son nez. Nous avons pu en profiter pour sortir et visiter Fira. C’est aussi beau que ce que je me l’imaginais et ce ciel était absolument grandiose.
Αθήνα
Nous sommes arrivés à Athènes le vendredi matin. Nous y avions loué un appartement sur Airbnb dans le cœur de la ville, idéalement situé et très joli. On ne m’avait pas dit que du bien de cette ville mais j’ai été agréablement surprise. Nous y avons passé deux journées bien remplies durant le weekend de Pâques qui, en Grèce, est un événement plus important que Noël… il y avait donc beaucoup de monde et des festivités. Devant chaque églises des personnes endimanchées s’attroupaient.
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C’est une jolie ville que je conseillerais pour un weekend de deux ou trois jours. Il faut par contre bien choisir son logement et selon le quartier : tout prêt de l’acropole, c’est parfait. Nous avons visité tout ce qu’il y avait à voir le samedi, à pieds, et profité du soleil. Le changement de température avec Santorin nous a fait beaucoup de bien ! Les hauteurs de la ville offraient une vue magnifique sur les montagnes mais aussi sur l’immensité de cette ville. Il y avait de nombreux chats dans les rues ici aussi, le matin nous en avons croisé tout un groupe qui avait, à mon avis, consommé une dose important d’herbe à chats…
Nous avions nos adresses fétiches mais bêtement je ne les ai pas notées. Il y avait en tous cas un café-snack moderne sous l’acropole où nous avons mangé, pour 5€, des falafels et bu de grands jus frais ainsi qu’un salon de thé librairie où j’ai été abordée par une jeune grecque qui était fascinée par mes appareils photos. Elle m’a d’ailleurs ajouté sur Facebook mais ne lira probablement jamais cela ! <3
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J’espère que ce voyage vous aura plu. Pour ma part je ne peux que vous encourager, si vous hésitez encore, à aller visiter la Grèce et à y vivre votre propre aventure. A vous y perdre volontairement afin d’en découvrir toutes les subtilités. Mon premier conseil, basé sur mon expérience personnelle, serait d’y aller hors saison, en mai ou en septembre, pour avoir des chances de beau temps mais pour ne pas être trop mêlés aux autres touristes. Mon second conseil serait d’éviter les îles trop touristiques. Pour ma part je ne suis pas sûre que je serais allée à Santorin si j’avais compris, ou alors, j’y aurais fait un saut si j’avais eu plus de 10 jours. J’espère en tous cas avoir un jour l’occasion d’y retourner et de profiter d’autres îles… (et retourner à Tinos voir Alexandros et Stella !)
Si vous avez des questions et des remarques n’hésitez surtout pas ! Je serais ravie d’y répondre.
Une semaine après le premier article, je publie la suite de notre voyage en Grèce !
Merci beaucoup pour vos retours concernant le premier volet du voyage. Je prends du temps pour faire du contenu et je suis ravie de voir que ça vous plait !
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Νάξος
Naxos est la plus grande et la plus haute île de l’archipel, elle mesure 428 km2
La plus grande ville – le port principal de l’île – est appelée Chora et compte 6 500 habitants. C’est un très joli port dominé par une porte qui est le vestige d’un temple archaïque probablement dédié à Apollon où il est très agréable d’admirer le coucher de soleil.
Nous avons logé dans l’adorable Pension Sofi durant les deux nuits passées sur l’île. Nous avons été agréablement accueilli avec un petit verre de vin et des fruits frais à la cannelle.
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Jour 4 : Ces premières photos ont été faites le matin du départ de Tinos, en attendant le ferry rapide pour Naxos qui avait du retard. Nous devions partir à 9h20 et il est arrivé à 10h passées. Je dois vous avouer que c’était pour nous la pire expérience du voyage en terme de transport. Il faut avoir le cœur bien accroché pour ne pas se vomir dessus. Lorsque nous sommes rentrés dans le bateau nous avons compris que l’expérience n’allait pas être agréable. Les gens autour de nous étaient soit malades, soit éteints. Ce moyen de transport est vraiment plus rapide qu’un ferry normal mais c’est aussi beaucoup plus éprouvant lorsque l’on n’a pas l’habitude des voyages en mer. Fort heureusement ça n’a pas duré trop longtemps ! Ce voyage douloureux nous a laissé des stigmates pour le reste de la journée, nous étions tout tremblant au moment de retrouver la terre ferme mais avant toutes choses nous étions vraiment heureux d’être arrivés, d’en avoir fini avec ça, et d’attaquer une nouvelle étape dans notre petite aventure.
La météo n’étant pas vraiment optimiste nous avons choisi d’assurer notre confort et de louer une voiture plutôt qu’un scooter pour cette fois. De plus, l’île étant bien plus grande, nous avons préféré pouvoir prendre le temps de la visiter entièrement. Aucun regret concernant ce choix car une pluie battante accompagnée d’un vent fort se sont abattus sur l’île à partir de 12 heures et ils n’ont pas cessé jusqu’au soir. La voiture, une fiat punto jaune qui m’amusait beaucoup par sa ressemblance avec un pot de yaourt, nous aura bien été utile ! Nous avons pris la route avec l’objectif de visiter au moins trois villes et d’essayer d’y trouver un logement. Le temps a fait que nous ne nous sommes pas arrêtés à chaque fois pour faire une visite plus approfondie mais beaucoup de kilomètres ont été avalés à travers la montagne et l’île a été traversée dans toute sa largeur. Nous avons visité Potamia, une ville mignonne et naturel puis Apeiranthos, un village tout en hauteur (qui était assez mystique avec ce temps). Nous nous sommes arrêtés au milieu de nul part afin de pique-niquer des petites choses que nous avions achetées au port et que malheureusement nous avons dû manger dans la voiture en regardant la pluie tomber. Une fois rassasiés, nous sommes repartis sur les routes avec l’idée de trouver un logement pour la nuit dès que possible.
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De loin je croyais que c’était un télésiège…
La route était extrêmement sinueuse, des pauses étaient nécessaires pour prendre l’air et malgré la grisaille et la pluie je souhaitais faire quelques photos. Je suis contente car je trouve que les photos sont jolies même si elles manquent significativement de soleil. Dans les routes de montagne se promenaient énormément de chèvres qui s’enfuyaient quand la voiture s’approchait, quittant la route d’un bond. Nous avons terminé la traversé de l’île avec pour objectif de retrouver la mer. Les paysages sont magnifiques et ce temps donnait un charme tout particulier à l’île. Une fois arrivés au bout du chemin, nous nous sommes retrouvés à Moutsouna, où malheureusement tout est fermé. Il y avait très peu de vie si ce n’est un café-restaurant éclairé sur le bord d’une plage. Nous avons rebroussé chemin afin de retourner à Chora pour trouver, enfin, un logement. Avant cela, nous avons décidé de faire un détour par une ville balnéaire toute proche, Prokopis où tout était fermé alors qu’elle semblait se composer majoritairement de logements touristiques. Finalement, après avoir jeté un œil sur le guide du routard nous avons choisi une première pension à Chora qui, bien entendu, était fermée. Notre second choix était le bon et nous avons dormi dans la Pension Sofi pour les deux nuits passées sur l’île.
Le soir, le dîner s’est déroulé dans un bon restaurant que le guide du routard recommandait chaudement. L’accueil était très agréable et, comme à Tinos, beaucoup de choses nous ont été offertes en plus de nos commandes. Il y a beaucoup plus de touristes ici qu’à Tinos et de ce fait plus de vie.
Jour 5 : Mardi, la journée était consacrée à la découverte de la nature environnante et a débuté avec une randonnée sur le bord d’un ruisseau. Nous sommes donc partis assez tôt pour profiter un maximum de cette belle journée de printemps. La randonné débutait après la ville de Eggares.
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Le chemin était très sympathique et assez peu difficile, il y avait beaucoup de fleurs partout et nous avions une belle vue sur les montagnes. Au bout du chemin l’on tombe sur une clairière où nous nous sommes installés pour déjeuner. Une fois le pique-nique avalé J. a décidé de se reposer, temps de pause durant lequel j’ai eu envie d’explorer les environs avec en tête de trouver l’origine d’un bruit d’eau important, que j’imaginais être une cascade. Comme le montre la photo suivante j’ai trouvé ma cascade, je la voyais d’assez loin mais c’était magnifique ! Nous avons essayé de nous en rapprocher davantage en faisant un peu d’escalade dans les rochers.
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Après cette escapade dans la montagne nous sommes allés rejoindre une plage non loin d’ici pour nous y reposer et profiter du soleil. La plage sur laquelle nous avons atterrit par hasard était vraiment jolie et, bien sûr, il n’y avait personne à part nous et un tracteur au loin. Nous y sommes restés un long moment, les pieds dans le sable tiède, à faire des photos et à ramasser des jolis cailloux.
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Le soir nous avons suivi la coutume et nous sommes allés admirer le coucher de soleil sur le port, depuis la porte. C’était vraiment magnifique ! (Quelques photos viendront dans un futur article). Nous avons aussi fait un petit tour le long de la corniche et c’était très agréable. Nous avons eu relativement moins froid à Naxos qu’à Tinos car nous avions un véhicule et une météo plus douce ce jour là.
Jour 6 : L’objectif de la journée était de quitter l’île pour retrouver notre dernière destination (avant Athènes). Nous avions choisi un ferry qui partait vers 13 heures et nous amenait en quelques heures à Santorin. Le matin nous avons donc pu prendre le temps nécessaire pour visiter Chora qui est vraiment une belle ville, atypique, avec de jolies petites ruelles.
Voici la fin de notre seconde partie du périple en Grèce et de notre séjour de 2 jours à Naxos.
Toutes les photos sont argentiques, prises avec un Canon AE1 et Canonet
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Voici la partie au Yashica A des images faites avec Manon cet hiver. Il est amusant de se dire que deux nouvelles séances photos faites avec elle n’ont pas encore été dévoilées. Elle a été un modèle important pour moi ces derniers temps et une belle rencontre également. C’est amusant de voir comme le temps est passé vite, je m’en rends compte notamment car ces photos ont été faites en décembre.
Mis à part cela j’ai un projet sympathique dont je vous parlerai bientôt. Je pars en voyage en Grèce dans 10 jours et trois appareils photos vont me suivre.
Il a tout un tas de belles personnes avec qui je dois collaborer dès mon retour, cela promet de nombreux articles encore !
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A Venise j’avais deux appareils photos : mon Canon Ae1 et mon Zenit-E. Pas de numérique car je m’étais rendue compte que mes photographies numériques en voyage n’étaient pas intéressantes ni très utiles et que le téléphone portable suffisait pour les souvenirs plus instantanés.
Voilà une longue série de photographies en noir et blanc prises avec Zenit-E durant ces trois jours à arpenter Venise et ses alentours. Je trouve que le noir et blanc et le rendu de cet appareil donne un charme tout particulier à la ville qui lui correspond plutôt bien… ce côté hors du temps et mystérieux.
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Zenit e x Neopan 400